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Histoires d'Ulysse - 6ème 1 (Mme Lambert, 2010/2011)
Ulysse et le Sprorelile
 
« Nous naviguâmes longtemps avant d’arriver sur une petite île, pas plus grande qu’un nuage, qui s’appelé Terraéco. Nous allâmes visiter l’île mystérieuse est nous trouvâmes cette petite île très bonne : de la nourriture abondante, une foret dense avec la quelle on pourrait faire des barques pour partir de cet îlot. Mais peu à près mes compagnons trouvèrent de petits terriers et un immense trou. Ils décidèrent de chercher les animaux qui se trouvés dedans. Mais moi, Ulysse à- l’esprit compétent leurs dis que se n’est pas une île des dieux mais un îlot de monstre. La nuit venue, nous dormîmes dans les arbres de celle-ci, mais deux hommes disparurent. Nous nous mîmes à leur recherche, mais au lieu de les retrouver nous en perdîmes trois autres. Il ne rester que moi et deux amis. Nous décidèrent de ne pas dormir et d’ouvrir l’oeil au cas où le monstre reviendrait et se fut le cas. Nous le suivîmes, sans qu’il nous voit et nous mena jusqu'à son terrier. Un jour, le monstre sortit mais ne nous vit pas car nous étions caché dans un arbre. C’était un monstre horrible : il avait la tête d’un lion, le corps d’une biche, les pattes d’un dragon et la queue d’une orque. Nous dûmes attendre la nuit pour pouvoir rentrer dans sa grotte car il partait chasser la nuit. Quand il fut partit nous rentrâmes dans la grotte où nous trouvâmes nos cinq amis mais à ce moment le Sprorelile rentré et nous dûmes rester dans la grotte mais au lieu de ne rien faire, nous préparâmes un plan pour tuer le monstre. Alors, nous faudra attendre le jour où le monstre sortira et un de nous fera la attirer l’attention du monstre et les autres nous nous cacherons dans l’arbre et nous lui sauterons dessus et nous le tuerons grâce aux épées que nous avons récupérées de notre bateau. Mais à plusieurs reprises nous ne pûmes pas attaquer le monstre car il sortait que la nuit et nous dormions à cette occasion. Mais un jour il sortit de jour et nous fîmes notre plan qui marcha à merveille car à ce nomment le monstre avait très fin et quand il vus un de nos compagnon il lui sauta dessus mais nous l’interseptirent en plein saut. Nous prîmes toutes les affaires qui nous serviraient pour notre escapade avant que le père du monstre qui s’appelé Sprorelile nous prennent par surprise dans cette île que nous ne connaissons pas du tout et que lui en est le roi. Mais quand nous arrivâmes a la plage nous trouvâmes notre entrain de coulé. Alors avec les affaires que nous avions prises avec nous du terrier nous essayâmes de reconstruire quelque chose qui puissent flotter sur l’eau. Nous réussîmes après beaucoup de temps à y parvenir. Nous pûmes partir a temps car le père de Sprorelile allait activer son attaque qui dévasté tout sur son passage et nous partîmes a la recherche d’une nouvelle île.
A.M.
 
L'Ile de Terreo et le monde des morts
 
Ulysse et ses compagnons naviguèrent à travers des eaux agités les hommes aperçu l' île de Terreo. Essayant de traverser les eaux vague après vague, car Poseidon l`Ebranleur-du-sol avait agité la mer, étant trés enèrvé avec Ulysse pour avoir tué son fils Polyphème.Ulysse et ses compagnons débarquèrent sur l' île de Terreo. "Où sommes nous ?" demanda un de ses compagnons. "A Terreo" Repondit Ulysse à-l' âme-endurante. Soudainement, ils entendèrent un rugissement terrible qui sortit de la forêt. Les camarades d' Ulysse prirent un air térrifié. A ce moment, un monstre hideux surgit de la fôret. Ulysse le reconnu directement: c'était le cèrebère qui gardait le monde des morts. Poseidon avait probablement alerté son frère Hades de ce qu'il avait fait. Ulysse et ses soldats sortirent leurs armes et commencèrent à se défendre, mais le cèrebère était trop puissant. Ils essayèrent presque tout mais le monstre continuait à résister. Ulysse aperçu au loin une crevasse, puis il en conclu que s'il y avait une crevasse un pont devait surement se trouver dans les alentours. En avançant vers la crevasse, il vit en effet un pont dans la distance. Il avança vers celui-ci mais il ne fut pas assez rapide: le cèrebère devora plusieurs de ses soldats. Ne se laissant pas distraire par la mort de ses soldats, il continua à avancer vers le pont, accompagné des hommes qui restaient. En arrivant sur le pont, il eut une idée. Le cèrebère étant un monstre gigantèsque, ne pourra pas faire supposrter son poids sur ce faible pont. Alors, Ulysse attendit que le cèrebère approcha, puis couru de l'autre coté du pont pour être en sécurité de l'efondrement du pont. Le monstre prit donc deux pas sur le pont pour essayer d'atteindre les hommes puis, comme Ulysse l'avait prévu, le pont succomba sous le poids de la bête. Satisfaits d'avoir vaicu de monstre, ils continuèrent à marcher vers la foret. Ayants accidentellement rentré dans le monde morts quand ils ont franchit le pont gardé du cèrebère, il fallait maintenant qu'ils en resortent. Ils marchèrent, marchèrent et continuèrent à marcher, commençant a devenir désésperés de trouver une sortie.
Pendant ce temps, Hades avait été alerté de la mort de son précieux chien le cèrebère, et que Ulysse et ses soldats se trouvaient maintenant dans le monde des morts. Hades commenda donc à ses soldats de capturer Ulyssse.
Le groupe des soldats d'Ulysse était en train de marcher dans le monde des morts jusqu'a ce que les soldats de Hades surgissent et les prirent par surprise. Une bataille sanglante commenca. Les soldats d'Hades pensaient qu'ils allaient pouvoir s'emparer d'Ulysse et ses compagnons sans problème mais ils se défendèrent extrèmement bien. Ils continuèrent à ses défendre de tout coeur, mais Ulysse commcença a croire que tout espoir était perdu.  A ce moment, une faible lumière apparu derière les soldats. Athena apparu de la lumière, elle était là pour sauver Ulysse et ses compagnons. Elle pousa les soldats ennemis hors de sa vue pour atteindre Ulysse. Il était fou de joie, il allait maintenant pouvoir s'échapper du monde des morts! Athena s'empara d'Ulysse et ses hommes, et grâce à ses pouvoirs; les téléporta jusqu'a leur navire, loin de l'le de Terreo.
D.M.
 
L'île D'or
 
Ebloui par une lueur gênante je me réveilla et aperçu au loin une île.Rempli d’espoir je pris ma rame et pagaya très vite,les muscles tirés, je n’avais pas mangé depuis trois jours et le soleil tapait fort. Quand enfin je mis pied à terre je vis une magnifique île en or; les arbres étaient d’or, les fleurs de rubis et de diamants, l’herbe d'émeraude et les courant d’eau de saphirs. Je n’avais qu’une envie c’était d’admirer cette île toute la journée.Puis je revins à la raison quand je vis ces tout petits bonhommes qui m’arrivaient à peine aux genoux. Ils me menacèrent avec leurs lances et me forcèrent à les suivre.Ils me conduisirent jusqu’à leur chef.J’eu une monstrueuse surprise quand je vis la taille de celui-ci.Il était beaucoup plus grand mais ce n’était son seul atout : il était d’une telle beauté! Sa peau était de couleur or, ses yeux couleur émeraude et ses lèvres était d’une couleur rubis éclatante. Il prit la parole et me demanda:
«-Bonjour voyageur, tu te trouves ici sur mon île: l’île d’or et moi je suis son Roi-Jaune-Or et toi qui est tu et d’où viens tu ?»
«-Moi je suis un voyageur et je viens de très loin»
«-Ne te moques pas de moi voyageur» me dit-il. Il commença à parler à un de ses sujets, et je compris alors qu’il les hypnotisait grâce à sa beauté.
Puis l’un d’eux s’approcha de moi et me demanda de le suivre. Sous hypnose, je le suivis et je finis dans un cachot; je compris alors que ma vie était en danger. Quelques heures après, le Roi-Jaune-Or vint me voir puis il me dit:
«-Je ne sais pas quoi faire de toi, tu ne m’es d’aucune utilité»
«-Que voulez vous ?» lui demandai-je
«-Moi je veux que tu disparaisses »
«-Pourquoi?»
«-Car personne ne doit connaître l’existence de cette île»
Quand la nuit tomba le Roi-Jaune-Or alla se coucher. Quand tout d’un coup les barreaux de ma cellule disparurent: C’est un piège du Roi-Jaune-Or. Effectivement il m’attendait dans sa chambre un couteau à la main. Sa chambre était immense comparé à moi, cet avantage me servit au moment il voulut me soulever, j’esquivai alors en me faufilant sous son lit; épuisé de me courir après il s’écroula sur son lit, profitant de son moment de repos je lui retirai alors les émeraudes de ses yeux. Alors l’effet de l’hypnose s'arrêta et tous les habitants redevinrent libres! Comme moi…
Le lendemain je quittai enfin l’île avec pleins de provisions,une petite cargaison d’or et de pierres précieuses qu’ils m’avaient offert pour me remercier de les avoir libéré.
I.C.
 
Ulysse sur l'île des trois monstres
 
Cela faisait quelques jours qu'Ulysse, revenant des enfers, était en mer, soudain il vue une île magnifique avec de beaux arbres exotiques, de grandes plages de sable mais elle était inhabitée. Ulysse dit à ses hommes de ne surtout pas y accoster mais ils ne l'écoutèrent pas. Alors ils y allèrent mais Ulysse préféra rester sur le bateau. Alors les hommes le laissèrent seul sur le bateau. Ulysse s'en voulait d'être rester il pouvait peut-être les aider en cas de danger mais il ne voulait surtout pas se faire tuer.
Au bout d'un moment il partit à la recherche de ses hommes. Pendant ce temps ses hommes étaient dans une forêt humide avec de grands marées, les hommes se demandèrent si une créature énorme habitait ces marées, mais bon ils continuèrent leur chemin. Ulysse vit lui aussi ces grands marées et ils se rappela de la légende de l'hydre qui vie dans les marées. Pendant qu'Ulysse continuait de chercher ses hommes il écouta un grand cri, ce n'était pas le cri d'un homme et ni celui d'un animal. On aurait dit un cri de dragon. Ulysse courut pour voir si ses hommes allaient bien. Quant il les vu en face de l'hydre Ulysse pria Athéna de les aider. Athéna la déesse au clair regard écouta sa prière et passa à l'œuvre elle apparut à Ulysse sous forme de combattant et lui dit:
«Ulysse ne tue pas l'hydre sinon en plus de Poséidon l'ébranleur du sol tu auras aussi Héra la reine des dieux qui fera appel a Zeus qui tient l'égide pour te tuer, alors ne la tue pas , cache toi dans une grotte et quand elle arrivera dans la grotte tu bloqueras l'entrée avec une grosse pierre que je ferai apparaître.»
Ulysse fit ainsi et trouva une grotte noir semblable au enfers mais il entra quand même. Il écouta un autre grognement et vu une bête sauvage qu'il ne connaissait pas mais il pensa à un manticore. Il prit son épée et la deuxième fois que le manticore sauta sur lui il lui enfonça son épée dans son ventre et le tua avec d'autres coups.
Pendant ce temps l'hydre arriva bientôt à la grotte du manticore . Vu que la grotte était très sombre elle ne vit pas Ulysse sortir de la grotte avec ses hommes. Ulysse une fois dehors attendit le gros rocher envoyé par Athéna la déesse au clair regard, quand celui ci apparut à Ulysse il le fit rouler pour boucher l'entrée de la grotte pour coincé l'hydre.
Ils repartirent vite à leur navire et partirent de nouveau pour Ithaque mais quand d'un coup Ulysse vit une tentacule géante s'abattre sur leur bateau. Celui ci se brisa en deux mais le deuxième coup de la bête fut terrible et réduit le bateau en morceaux. Ulysse plongea dans l'eau pour voir quelle genre de bête avait put faire une chose pareil. A peine il avait mit la tête sous l'eau qu'il crut voir un calamar géant : le craken. Ils retournèrent sur l'île de l'hydre et Ulysse a l'esprit inventif dit à ces hommes :
« Construisons un radeau pour faire croire au craken que nous sommes à bord de ce radeau et que nous repartons de nouveau et après nous demanderons à Athéna de nous envoyer un navire rapide pour échapper au craken . »
Ils se mirent au travail et en un jour le radeau fut près, ils le lancèrent à l'eau et après cela ils prièrent tous Athéna pour qu'elle leur donne un navire rapide et solide pour échapper au monstre. Celle ci leur envoya un bateau magnifique. Ils embarquèrent vite leurs provisions et leur affaires en s'en allèrent . Athéna fit souffler un vent favorable et ils échappèrent au craken comme prévu.
L.D.G.
 
 
Ulysse et le Cochemerve
 
Ulysse naviguait en mer et aperçut une île. Il se dirigea vers cette île mystérieuse. Il accosta et s'aperçut que toute l'île était très montagneuse, avec une petite plage bordée de mangroves. C'était à la fois une mauvaise et une bonne nouvelle. La mauvaise car lui et ses hommes auront du mal a établir un campement. La bonne car les mangroves renferment généralement de très nombreux poissons et crustacés, ce qui constituera une formidable réserve de nourriture.
Ils construisirent un campement dans une grotte bien protégée de la pluie. Le campement fait, Ulysse et ses hommes dormirent car il faisait déjà nuit. Ils ne se doutaient de rien mais quelqu'un habitait déjà dans cette grotte. C'était un Cochemerve, une sorte de serpent à 10 pattes, 2 queues, 3 têtes et un corps. Il surprit le campement d'Ulysse, et commença à le détruire. Heureusement, un homme de l'équipage alerta tout le monde avant que le Cochemerve détruise le campement en totalité. Ulysse et son équipage s'enfuirent vers le sommet de la montagne. Le Cochemerve les suivait, en étant affamé, Ulysse et ses hommes avaient eu assez de temps pour préparer un piège. Le Cochemerve était tellement bête qu'il est tombé dans le piège. Ulysse et ses hommes partirent et reprirent la mer pour l'île suivante.
P.G.
 
Ulysse et le Monstre-à-migraines
 
Après notre aventure chez les Kikones nous décidâmes de partir vers le Sud. 
J’arrivai donc, avec mes compagnons, sur cette nouvelle île. Je les encourageai pour un éventuel combat. Nous nous préparâmes pour le débarquement, je répartis mes hommes : une vingtaine pour aller explorer, dont je faisais partie, trente hommes pour garder les bateaux et le reste pour aller chassé et ramasser du bois pour le feu.
Je pris avec moi les meilleurs de mes hoplites ne sachant pas à quoi s’attendre, je me dis qu’ il valait mieux pouvoir combattre.
Nous arrivâmes à l’entrée d’une grotte, mes hommes voulurent l’explorer. Nous marchâmes longtemps dans les profondeurs de la terre. Soudain nous nous trouvâmes près d’un lac souterrain. Nous observâmes cette partie de la grotte, elle était aménagée tel le repaire d’un pêcheur : des harpons, des filets et des lignes étaient proprement entreposés ici et là. Les restes d’un feu brillaient dans l’obscurité un vieux bateau était amarré â un ponton. Tout d’un coup une créature mi homme, mi -poisson surgît des profondeurs obscures du lac. Mes hommes se préparèrent à combattre. La créature nous demanda ce que nous faisions ici, nous lui répondîmes que non explorions son île à la recherche de nourriture, il nous répondis qu’il était d’accord pour nous nourrirent pendant quelques temps et nous invita à nous restaurer. Il nous servit du poisson grillé au feu de bois, tous mes hommes mangèrent de bon cœur j’étais le seul à me douter de quelque chose donc je fis semblant de manger. Quand nous eûmes fini, Nous remerciâmes notre hôte et il nous donna du poissons pour que le reste de mes hommes qui étaient rester aux bateaux puissent se restaurer et nous retournèrent à nos embarcations.
La nuit tombée j’entendis des gémissements venant de mes hommes, je me levai, mon second m’expliqua que les hommes se plaignaient de souffrir d’un horrible mal de tête. Tout de suite je me rappelai du poisson donné par notre hôte d’hier. On m’informa que déjà environ une dizaine d’hommes étaient déjà morts. Je choisis vingt des hommes qui n’étaient pas atteints de cette étrange maladie pour aller attaquer le démon qui avait empoisonné mes hommes. Quand moi et mes hommes arrivâmes dans son repaire, je le menaçai de lui trancher la gorge avec mon glaive, il m’expliqua calmement qu’il c’était trompé et qu’il nous avait donné à manger une variété de poisson qu’il adorait mais qui était non comestible pour l’humain et que pour nous prouver qu’il recherchait juste à nous aider. Il prépara une boisson à base de plantes, qui ne poussait nulle part ailleurs que sur cette île, pour soigner mes frères d’armes. Tous mes compagnons malades burent cette potion et ne se plinrent plus jamais de mal de tête. Notre guérisseur nous donna des provisions, que nous embarquâmes dans les bateaux, et nous souhaita bonne chance pour rentrer chez nous. Nous prîmes la mer et allâmes vers le sud-ouest.
R.G.
 
Une nouvelle aventure d'Ulysse
 
Après plusieurs jours passés en mer, sur mon petit bateau, j'arrivai enfin sur une île déserte. L'île n'était pas très grande. J'avais très faim. Cela faisait plus de deux jours que je n'avais pas mangé. Sur l'île, il y avait des arbres, une forêt de cocotiers. Pour moi justement c'était parfait, affamé comme je l'étais. Je ne vis personne, je me sentis un peu seul. J'allai chercher quelque chose à manger, après avoir caché mon bateau sous des feuilles.
La forêt me parut gigantesque. Sur le chemin, je vis une belle pomme bien rouge;cela me parut étrange car il n'y avait aucun pommier. J'avais tellement envie de la manger que je courus jusqu'à elle. Je la ramassai et d'un seul coup deux gros yeux rouges apparurent à la place de ma belle pomme rouge. J'eus très peur. Le monstre était grand, avait une grosse gueule, une très longue queue, mais il n'avait que trois pattes. Cela le gênait pour courir. Je réfléchis quelques minutes pour trouver une ruse. Enfin, je m'arrêtai devant lui et dis en tremblant :
- «Veux...veux-t...tu faire un jeu...avec … eh... moi ?»
Peut-être que ce genre de monstre savait parler ?! Il ne comprit pas, mais me secoua la tête. Je repris mon souffle et dis à nouveau :
- «On joue à un jeu, qui s'appelle «cache-cache»... Toi tu vas fermer les yeux et compter jusqu'à 100, et moi je vais me cacher, puis tu essaieras de me trouver. Si tu ne me trouves pas, tant pis pour toi !»
Je pensai qu'il avait compris car il commença à fermer les yeux et à compter. Je courus le plus vite possible pour retrouver mon bateau. Je le découvris facilement et repris la mer.
Depuis mon bateau j'entendis le monstre crier. Je longeai la côte et le monstre me suivit comme s'il croyait pouvoir m'attraper. Je quittai définitivement cette île et son monstre pour en rejoindre une autre.
G.C.
 
Ulysse et le minotaure
 
Quand Ulysse se sauva de la tempête il vit une ile qui n’était pas très éloigner, donc il se dirigea vers cette ile. Quand la nuit tomba il s’endormit auprès de la plage. Quelques heures Passa et Ulysse entendit des cris, il cru que cela fut que des bruit d’animaux mais il ne fut pas Sûr donc il fit un tour de cette ile pour voir s’il y avait des dangers, et il découvrit une Caverne.
Ulysse entra directement dans la caverne, car il vit de la nourriture.
Quand il ressorti il entendit des pas, qui s’approchaient, il couru mais sans qu’il Le remarqua derrière lui il y avait un moitié homme moitié Taureau, il ne remarqua pas Qu’il s’agissait d’un minotaure. Pendant il courrait il vit derrière un arbre quelque chose De bizarre, il s’approcha et remarqua que c’était une épée il ramassa, et commença à se battre Contre le monstre.
Jusqu’au lendemain il se battit contre le minotaure sans gagner ou perdre. Mais il Démontra Que le monstre, malgré la résistance d’Ulysse le minotaure a réussi de le coincé. Au moment que le minotaure voulu le tuer, Ulysse pensa à tromper le minotaure en Le tuant quand le minotaure est sur le point de le tuer. Mais il ne pensa pas que le minotaure Fut préparé, donc quand Ulysse voulu mettre son plan en scène, Le combat recommencé, Ulysse, avec ces dernières forces restants il visa que ses jambes, parce qu’il pensa de Connaître son point faible au minotaure. Quelques heures passèrent et le minotaure fut au sol car Ulysse l’avait convaincu, Ulysse le tua, il prit la nourriture, celle qui était dans la caverne du minotaure, et s’enfuit avec son radeau.
S.L.
 
Ulysse dans l'île aux-milles- fruits
 
        Je partis de l'île du soleil, sans savoir où aller sur les flots. Je perçus alors dans le brouillard   une autre île, et, comme j'étais accablé de fatigue, je fis cap vers ce bout de végétation que je voyais au loin. Je m'échouais sur le sable quand je sentis une présence. Mais je sombrais bien vite dans l'inconscience. A mon réveil, je décidai d'explorer cet endroit perdu. Prudent, je pris une vieille lance que j'avais trouvé dans mon navire, gisant sur le plancher. Je découvris, émerveillé, les plantes inconnues de l'île que je baptisais : «l'île aux-mille-fruits». Soudain une jeune fille au-doux- visage me surpris, pendant que je croquais un légume rougeâtre. La belle femme s'adressa à moi : « Quelle chance! Ce n'est pas souvent que quelqu'un vient me rendre visite. Viens avec moi, je te nourrirai et je t'inviterai dans mon logis...». Affamé et épuisé, je la suivis. Elle s'approcha d'une grotte, je n'étais pas rassuré. Elle se tourna vers moi et se transforma instantanément en ce qu'elle était réellement : une affreuse créature. Il s'agissait en réalité de la magicienne des-collines-de-marbre. Sa peau était noire et déchirée par la cendre qui brûlait encore dans ses cheveux semblable à des algues. Horrifié, je brandis mon arme, et avec un long ricanement elle s'empara de moi et m'amena dans sa grotte dans laquelle reposaient sur des étagères, les crânes de ses victimes.
Elle me dit, en me regardant de ses yeux injectés de sang, qu'elle partait cultiver ses champs en répétant cette phrase : « Tu as eu tort de t'être aventurer sur mes terres, étranger! » De sa force extraordinaire, elle bloqua l'entrée de la grotte et reprit l'allure d'une belle jeune fille. Je me dis plein de rage: « Une ruse, c'est une ruse! La faim et la fatigue m'ont trahi. Je dois sortir, c'est une question de vie ou de mort.» Je jetais un coup d'oeil au plafond : il y avait un large trou que la stupide bestiole avait oublié de boucher. J'inspectais les outils de torture de la tueuse : une faux, du bois, des morceaux de métaux, et j'en passais. Après quelques minutes de réflexion, je n'arrivais pas à mettre en place un stratagème. L'affreuse ébouriffée revint, et je me cachais pendant qu'elle récitait ses menaces habituelles : « Tu as eu tort de t'être aventurer sur mes terres, étranger!! »
M'emparant d'un outil de travail du monstre, je sautais, sur la créature, et d'un coup de hache, je lui tranchais la tête d'où coulait un sang noir. Après ce massacre, je m'empressais de partir de l'île ensorcelée, mis mon bateau à la mer, et me dirigeais vers d'autre rivages, que j'allais bientôt découvrir.
R.B.
 
Ulysse chez le gorille Corsasik
 
« Après mon aventure chez les Lestrygons ces géants terribles, moi et compagnons fûmes en mer lorsque nous vîmes une île magnifique. Cet île était comme une grande jungle. Après le débarquement nous aperçûmes des arbres gigantesques, des fleurs resplendissantes, des oiseaux de toutes les couleurs qui voltigeaient à travers le ciel et nous fûmes bien curieux de savoir qui était l’heureux propriétaire de cette île si plein de mystère. Soudain…. Pendant que nous avançâmes silencieusement vers l’autre côté de la jungle, mes compagnons furent mis à sol par un choc immense tel que le tonnerre envoyé sur terre par Zeus l’assembleur-des-nuées. Et là devant nous se tenait Corsasik le gorille gardien de la jungle aux-éclats-multicolores, ce monstre devait mesurer environ 6 mètres, était noir de la tête au pied, avait des dents tranchants tel que des lames d’épée travaillait avec finesse et sur son visage montrer une humeur pas très plaisante. Il me fixa dans les yeux comme j’étais le seul debout et me demanda de sa voix retentissante : « Qui est-tu étranger et que vient tu faire sur mon île ? Moi qui suis seul maître de cette forêt et qui tous les matins arrose mes fleurs, regarde mes arbres grandirent et donne a manger à mes oiseux. Je lui répondit alors de mes mots ailés : « Mon nom je ne le connais pas, on ne m’a jamais donner de nom et pour la deuxième question moi et mes compagnons avons débarqués pour connaître le propriétaire de cette île fantastique, et écoute moi bien mon ami , comme tu nous accueil si gentiment (rire) nous allons t’offrir tout ce que nous avons comme vivre de notre navire .
Le gorille très surpris, prit mes mots comme une insulte me dit de dire à mes hommes de chercher les vivres du navire, mangea tout jusqu’à la dernière miette, et tomba comme un mort au combat raide à terre. Encore une fois le choc propulsa mes compagnons hors de vue, après s’être relevés j’ordonna à une moitié de creuser un trou à la sortie de la forêt, pendant que l’autre moitié cueillaient à leur gré, les fruits éclatant-de-jus, le gibier porteur-de-force et tout les vivres que nous pourvûmes amener sur le navire, moi j’étais sur mes gardes devant Corsasik qui commençait a ce relever, je criai l’alerte et ordonna à mes compagnons de monter sur notre navire.
Quand le monstre aux-dents-tranchantes me vit, je m’enfui et il me poursuivi en
sortant des cris affreux. Normalement il était très rapide, mais je l’avais ralenti grâce au poids de la nourriture, à la sortie de la jungle je fis un grand saut au-dessus du piège, mais lui tomba dedans. Je riais et m’exclama en partant : « Et oui ! Le divin Ulysse à encore put s’échapper grâce à sa ruse ». Mais j’avais fait la même erreur que chez Polyphème, j’avais dévoilé mon identité et Corsasik qui lui aussi est le protégé de Poséidon, je pensais que ce dernier aller me hanter encore plus.
Mais je repris quand-même la route de la mer avec mes compagnons et nous nous dirigeâmes vers l’île de Circé aux-belles-boucles. »
W.E.
 
 
 
Le voyage d’Ulysse sur l’ile de la pluie
 
Ulysse partant de l’ile du soleil arriva sur une ile où il pleuvait tout le temps, elle se nommait ile de la pluie. Cette île abritait un terrible monstre baptisé Ratus qui ressemblait fortement à un lion à tête de cochon, très vivace mais pas très rusé, Ratus logeait dans les hautes montagnes.
Ulysse contraint de passer par les montagnes pour ne pas se faire repérer par les barbares du littoral se casse le bras gauche en tombant sur le chemin escarpé. Ulysse doit faire face au terrible Ratus.
Le combat commence vite et Ratus arrive à griffé violemment la jambe d’Ulysse. Le divin est cloué au sol quand tout à coup il u un flash de stratagème, mais il lui fallait du temps pour les mettre au point. C’est la que la bête court a tout vitesse vers lui et le lança 10 mètre plus loin en lui arrachant complètement la jambe. Ulysse à-l’esprie-inventif envoya une pierre qui se trouvé juste à coté de lui dans la tête Ratus, l’animale tomba.
Ulysse eu le temps de construire un bélier et de le placé juste derrière lui quand la bête se réveilla elle eu l’instinct de sauté sur le pauvre Ulysse qui déclencha son piège qui tua la bête par la violence du coup. Sur le chemin qui descendait Ulysse rencontra la déesse Athéna qui c’était transformé en une magicienne qui pouvait soigner tout type de blessure Ulysse enfin guéri pouvais reprendre la mer vers une nouvel ile.
A.G.
 
Le monstre du volcan de Santorin
 
 Cette autre aventure se passa quelques années auparavant. Je me trouvai à Lestrygons, où je decidai de fabriquer une frégate pour pouvoir naviguer sur la mer-couleur-de-sang, et découvrir, explorer et conquérir de nouvelles terres. Je naviguai pendant deux jours avant de m’arrêter à Circé pour chercher mon équipage et quelques bateaux de plus. Nous préparâmes ensemble les bateaux et nous emmenâmes avec nous tout le matériel nécessaire pour construire une ville, des réserves de nourriture et d´eau ainsi que des animaux pour l´élevage. Je sentis que quelque chose manquait mais je ne sus pas ce que ce fut. Nous naviguâmes pendant neuf jours et neuf nuits, et au début du dixième jour, au loin j´aperçus une île que je voulus appeler Santorin. Nous l’abordâmes et la visitâmes. Cette île était petite, en forme de croissant, couverte d´une legère couche de neige, et avec des falaises et des plages de sable noir d’origine volcanique. Je crus qu´elle fut inhabitée, jusqu´à ce qu´un monstre bleu à trois têtes et douze yeux, en crachant du feu, nous sauta dessus et dévora trois d´entre nous. Nous trouvâmes maintenant ce que nous eûmes oublié d´emmener: des armes pour nous défendre des monstres! Mon équipage térrifié et pris de panique se dirigea vers le bateau en bois, mais celui-ci prit feu. Tout le monde sauta dans l´eau glaciale sauf moi, qui resta sur la plage. Soudain, Athèna-la-déesse-au-clair-regard m´apparut, moi seul pus la voir, sous l´aspect d´un esquimau. Elle me conseilla d’insulter le monstre et de courir le plus vite possible en haut du volcan et au dernier moment de me décaler un peu sur le côté ainsi il tomberait dans le cratère et mourrait brulé. Je fis exactement ce qu´elle me dit, et le monstre tomba dans la bouche du volcan et mourut. Tout de suite après je m’évanouit à cause de la fatigue. Le lendemain, Aurore-la- fille-du-matin, me réveilla avec délicatesse et douceur, un simple sursaut en effet m'aurait fait tomber dans le cratère plein de lave. Une fois réveillé, je vis mon équipage qui avait déjà commencé à construire des rues, des maisons, des parcs, des écoles, et des postes de travail. Les travaux avancèrent rapidement et la ville fut vite construite et terminée. Mais Zeus l´assembleur-des-nuées, le créateur du monstre bleu à trois têtes, enragé, cette fois déchaîna une tempête de neige, foudres, éclairs, tonnerres et réveilla le volcan de l´île qui entra en éruption. La ville que nous eûmes construite fut détruite, tomba en ruine, s´éffondra, et plongea dans l´eau jusqu’à une profondeur infinie.                                              
S.A.
 
Ulysse chez Glacix
 
Alors que j'étais en bateau avec mes compagnons, j'arrivai sur une île à moitié gelée à moitié fleurie. La partie fleurie était toute ensoleillée et sentait bon. Mes compagnons et moi y trouvâmes une faune multiple et variée. La partie gelée était plongée dans l'obscurité. Nous n'y trouvâmes ni faune ni flore... L'île semblait déserte pourtant je rencontrai un personnage étrange tout gelé qui habitait une grotte creusée dans la glace. Cet homme de glace était gigantesque et avait un cœur de pierre. Il se présenta à moi avec deux énormes animaux glacés. Il détestait tout le monde en particulier les humains. Il avait un regard menaçant. Chaque fois que l'homme de glace passait quelque part, tout gelait et chaque fois que quelqu'un d'autre que lui passait sur sa glace, elle fondait. Nous sommes passés sur la glace du monstre. La glace fondit. Le monstre fut très en colère. Pour se venger l'homme de glace leur souffla dessus. Il avait un souffle glacé. Nous nous retrouvâmes immobiles dans un glaçon. Nous fûmes glacés de peur. Heureusement mon chien et d'autres compagnons se demandèrent ce que nous fîmes alors ils vinrent nous chercher. Argos (mon chien) nous flaira et arriva en premier. En arrivant, il fit fondre toute la glace et notre glaçon. En sortant du glaçon, je fus tout mouillé. Ensuite, j'allai dire au revoir à Glacix. Je le serra dans mes bras et je le fis fondre en entier. Nous allâmes nous sécher sur la partie fleurie de l'île, nous «pic-niquâmes» puis nous repartîmes sur les flots.
M.C.
 
Ulysse et l’île de Cata
 
« Nous reprîmes la mer de l’île de Circé puis nous découvre alors sur une île qui s’appelait Cata. Cette île est grande il y a des montagnes, il y a beaucoup de terre et sur ces terre tous poussait : du blé, de l’orge et des vignes, des. Mais nous vîmes personne, même pas charpentier pour construire un bateau. Il y’avait beaucoup d’arbres sur une autre partie de l’île et donc nous ne vîmes pas bien. Quand nous fûmes plus près du rivage, nous aperçûmes une antre mais toujours personne
Après que nous ayons débarqués , un de mes hommes me dit :
-«  Que faisant nous sur cette île Ulysse ? Nous n’avons pas le temps de visiter des îles. »
Je lui répondis :
-«  Tais-toi homme. Nous manquons de provisions. Si je fais ça, c’est dans l’intérêt
de tout le monde. Un autre homme me dit :
-« Oui mais, cette île est peut-être dangereuse, il y a peut-être des monstres ? »
Je lui répondis :
-«  mais non, il n’y a personne. Assez perdu de temps, venez !
Quand nous atteignîmes l’antre, il y avait des bêtes sauvages , du raisins et du fromage. Mes hommes qui avaient un faim de loup, prirent tous le fromage et le
raisins. Quand ils eurent apaisés leur faim, quelques instants après, le sol trembla et nous tombâmes sous terre Tous hommes me dit :
-« Où sommes-nous ? »
Ils furent très inquiets puis le sol trembla à nouveau mais cette voici, c’était un monstre qui vint. Il est très grand, les bras musclés et des longes chambres, il avait une lance mais le plus étonnant c’est qui l’avait la tête d’un tigre. Il nous dit :
-« Vous êtes tombés dans mon piège étranger mais  que faites-vous sur mon territoire? »
Il dit ; notre cœur frissonna devant la puissance de sa voix :
Je lui répondis :
-« nous nous égarâmes sur ton île, par hasard, mais à genou nous te supplions de nous accueillir et de nous offrir à manger. »
Ce monstre nous dit :
-« Et toi étranger, ou viens-tu de si loin pour m’inciter à t’accueillir et à te donner à manger ? »
-«  Il sauta, et tua quatre de mes hommes à l’aide de sa lance.
Je cherchais une ruse pour le vaincre mais je n’en trouva aucune mais je lui dit :
-«  Monstre, pourquoi vis-tu dans cette endroit sombre et humide  et qui cultive ces terres si tu ne sors jamais?  »
Il me répondit :
-« étranger, je ne te dirais rien de mois mais je vais te dire qui cultive mes terres.
En fait, ce sont mes esclaves qui cultivent mes terres mais je n’ai plus personne pour cultiver mes terres, tous mes esclaves sont morts en travaillant Ils me ramenèrent les ressources par un passage de l’autre côté de la grotte. C’est pour ça que vous seraient mes prochains esclaves !
Je réfléchis dans ma tête encore une fois à une ruse, et je trouva une idée. Si il vit dans un endroit sombre, cela veut peut-être dire qu’il ne supporte pas la lumière. Et heureusement , je fus équipée d’une en torche car je sus qu’on pouvait être dans des endroits sombre . Alors je leurs dis :
-« toi , toi et toi allez l’attaquer, j’ai un plan . Puis quand   ils eurent attaqués le monstre , j’alluma une bougie que je mis dans mon en torche et je sauta sur lui et je lui mis la lumière crée par les bougies en plein dans les yeux. Alors, le monstre cria :
-«  Haaaaaaaaaaaa ! mes yeux, je ne supporte pas la lumière. »
-« Je sortis mon épée de mon fourreau et je lui transperça le corps I
Il poussa un énorme crie encore plus fort que le dernier puis il tomba par terre. Je leurs dit :
-« Hommes, vous vous s’êtes bien battus. Mais cela ne les à gèrent soulager, ils étaient toujours inquiet . Un de mes hommes dit en s’inquiétant :
-« comment allons-nous sortirent ? »
Alors je lui répondis
-« arrête de t’inquiéter homme, rappelle-toi bien ce qu’a dit le monstre, il a dit que ses esclaves vinrent par un chemin, cela veut dire que il y a un chemin qui nous amènent directement là où nous étions. »
Alors nous continuâmes notre chemin à l’aide de mon en torche Puis à près une heure de marche nous finîmes par voir une lumière. Nous continuâmes notre marche encore quelques mètres, puis nous aperçûmes une échelle qui reliait l’île au sous-sol. Puis après que nous ayons grimper l’échelles , nous vîmes enfin le paysage. Puis nous nous sommes dirigés vers le bateau et nous reprîmes la mer en quête d’une nouvelle île. »
S.A.
 
Ulysse et ses compagnons
 
Mon véritable dessein etait de voyager dans le temps, mais d'abord il fallait trouver la porte. J'entendis parler de cette légende et je voulus être le premier à voyager dans le temps. Certains villageois d'Ithaque (le village oû j'abite) me dirent qu'une bête, ou même un monstre vivait dans une grotte et gardait une carte qui indiquait oû se trouvait la porte du temps. Cette grotte se situait dans le cratère d'un volcan sur une île au beau milieu de la Méditerranée. Mes compagnons et moi nous rendîmes le lendemain à notre bateau pour commencer à prendre la mer de bonne heure. Le soleil était déjà haut dans le ciel et il faisait chaud. Roger,(un de mes compagnons) redoutait la mer car il était malade. Une fois en pleine mer ; "Terre en vue !" cria Moussa (un des miens). En effet, le bateau se raprachait de l'île. Une fois le bateau amarré , nous descendîmes à terre explorer cette mystérieuse île. Au milieu de celle-ci apparaissait une grosse fumée noire. Nous traversâmes la jungle qui précédait le volcan. Nous escaladîmes la grande falaise et devant nous se montra le fameux te gigantesque cratère. Rachid (un de mes amis) voulu sapprocher un peu plus près pour voir mieux le spectacle mais malhencontreusement il perdit l'équilibre, il chuta, et cette chute se termina dans les coulées de lave. Nous commencâmes a descendre dans le cratère grâce à quelques cordages que nous nous avions pris avec nous. Je repérai une plate-forme sécurisée pour continuer notre chemin a travers le volcan. Ca y-est, nous sommes devant la caverne du monstre. On entendait le ronflement de le bête qui nous donnait la chair de poule. Pour éclairer la grotte obscure, je ne trouvai qu'un bout de bois que j'ai trempé dans la lave enfusion pour m'en servir de torche. Je me lancai : j'avencai dans la grotte la torche à la main et je vis un terrible monstre endormi : c'était un drangon noir d'environ un vingtaine de mètres. Une fois la bête analysée, j'avala ma salive et je m'avencai tout doucement vers le dragon car la carte se trouvait sous son aile droite. Jusqu'a présent je n'ai pas réveillé le dragon mais il reste a prendre cette carte. J'essayai de retirer celle-ci qui ne voulu pas bouger à cause du poids le l'aile du dragon alors je tirai d'un grand coup sec et je la prit pour la brandir a mes copains qui me firent un pouce en l'air. Je commencai à sortir le la cave sans déranger la bête que je n'entendai plus ronfler. Pourquoi d'ailleurs ? Mes deux compagnons avaient eux aussi l'air très géné de regarder derrière moi en reculant doucement pas à pas ...
M.C.
 
 
Ulysse et sa nouvelle île
 
J’arriva en mer, et je découvris une nouvelle île, avec une grande forêt et une très haute montagne. J’accosta… mes compagnons et moi décidèrent d’aller marcher sur cette île et prendre des provisions.

Tout à coup, un monstre surgit de nulle part qui fit peur à mes compagnons mais pas à moi. C’est un vampire avec des cornes et des grandes dents comme celle d’un lapin. Le monstre nous attrapa et nous attacha avec une corde. Il nous amena dans une grotte. La lumière était noir comme la couleur d’un corbeau. Je tenta de couper la corde, mais en vain… je m’aperçus que le monstre me regardait d’un air méchant comme le regard d’un loup je réfléchis…

Je me rappelai que dans ma poche de mon pantalon, j’avais de l’ail, l’ennemi redoutable du vampire, je fus rusé comme un renard. Je visa les yeux du vampire, il se mit à pleurer. Pendant ce temps, je coupa la corde avec mes dents et alla délivrer mes compagnons.
Je découvris sur le côté de la grotte une épée, je l’attrapa et blessa le monstre, il s’évanouit…. mes compagnons l’attachèrent avec la corde.
Nous courûmes à toute vitesse comme une fusée, et repartirent, en bateau, vers une autre île, celle de Calypso.
A.C.
L’odyssée de la chasse
 
Ulysse étais sur son bateaux avec son équipage quand Poséidon s’énerva que Ulysse n’avait pas fait de sacrifiés après avoir gagné une bataille contre les mendiant Poséidon fessa apparaitre une énorme vague d’une centaine de métré de haut, la vague percuta le bateaux d’Ulysse qui fessait a peine 8 mètre de long Ulysse se retrouva sur une ile en plein milieux d’une arène de combat gigantesque et pluis il remarqua qui étais chez les romains les personne dans les tribunes l’appeler l’inconnu est ensuite l’empereur  s’avança vert lui et il lui offrat sa liberté en échange quille attrapa est tuas une bête qui avait d’âpre les rumeur 6 pate 4 yeux  est une carapace aussi solide que les dieux Ulysse accepta aussi tôt les romains l’emmenons  vert la grotte de la bête mais quand Poséidon l appris il se d’Isa que Ulysse n’aurais pas de problème à le tuer alors il lui donna une force supérieure Ulysse entra dans la  grotte de la bête il sorta son épée pour la tuer mais la bête se téléporta est surgie derrière Ulysse la bête ouvra sa bouche Ulysse se retourna et coupas la langue de la bête la bête crias leva la tête et Ulysse lui coupas une pate  la bête le poussa est-il volât contre le mur ensuite quelque soldat déciderai aller l’aider mais Poséidon n’apprécia pas cette idée il posa une porte indestructible au début de l’entré Ulysse lenca son épée sur le dos de la bête mais son épée se brisa il sortais ensuite une petit épée la bête lui sota dessus est-il enfonça son épée dans la tête de la bête qui mourras ensuite la porte souvris est puis Ulysse sortas est puis les solda l’emmener voir l’empereur qui le libera ensuite Ulysse prenas la mère est rentra
A.K.
 
 
 
 

Date de création : 15/05/2011 @ 11:38
Dernière modification : 29/01/2014 @ 17:38
Catégorie : Histoires d'Ulysse
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